TN Pas CHer Amadou Koumé est mort dans les locaux du commissariat du 10e arrondissement de Paris, quelques minutes après une interpellation musclée. La police des polices mène une enquête.
Amadou Koumé n'est mort que quelques heures après son interpellation. Appréhendé dans le quartier de la gare du Nord, à Paris, vers minuit le vendredi 6 mars par les policiers du 10e arrondissement, ce père de famille de 33 ans originaire de Saint-Quentin, dans l'Aisne, tient alors des «propos incohérents», explique une source judiciaire au Parisien, qui a révélé l'information. Nike TN Pas Cher Les gardiens de la paix ayant toutes les peines du monde à maîtriser l'homme, qui se débat, ils procèdent à une «manœuvre d'étranglement». Le corps inerte d'Amadou Koumé est ensuite transporté en fourgon jusqu'au commissariat du 26 rue Louis Blanc. Il est 00h30. Son décès sera prononcé deux heures plus tard.
Une enquête pour homicide involontaire a été diligentée par le parquet de Paris et confiée à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN). À la demande de la famille Koumé, qu'il représente, Me Eddy Arneton a de son côté déposé la semaine dernière une plainte contre X pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner et non-assistance à personne en danger.
Une plaie au visage
Nike TN Requin Paris L'ensemble des services de police essayent pour l'heure de préserver le secret de l'instruction dans cette affaire. La famille Koumé elle-même a bien du mal à obtenir des informations. Reçus par les enquêteurs trois jours après les faits, les parents de la victime ne connaissent toujours pas les résultats de l'autopsie. «On ne sait pas comment il est mort, s'indigne Habi, sa grande sœur, pointant des incohérences.
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